Philippe

LES TABLEAUX D’ALBAN DE HALLER

Alban c’est l’énergie, la force, la sensibilité, la transcendance faustienne.
C’est la puissance créatrice exprimée par la peinture, la musique, l’écriture.

Alban c’est aussi la quête de sens, la souffrance, le désespoir, la perdition.
C’est le logos et le pathos. Le bonheur et le malheur. La création et la destruction.

Alban c’est l’ordre naturel incompris. Par les autres, par lui-même.
C’est l’incarnation métaphysique de l’inconnaissable contemporain.

Un homme fait à l’image de notre Dieu. Il ne peut plus vivre, il doit mourir.
Une âme éternelle. Elle ne peut pas mourir, elle doit vivre.

Alban de Haller c’est la dichotomie. La sienne, la nôtre.

Des tableux? Non. Des miroirs.

Tu me manques vieux frère.

Philippe